François Blondel
Pour moi, une truffière qui « rentre en production » est le résultat de la conjonction bénéfique d’une multitude de facteurs:
L’approche énergétique n’est donc pas le seul facteur déterminant et ne doit en aucun cas, se substituer aux autres critères fondamentaux.
Cette approche fait appel à la Géobiologie, c’est à dire à l’étude de l’ensemble des influences de l’environnement sur le vivant et notamment des ondes liées aux champs magnétiques, courants d’eau souterrains et failles géologiques.
La géobiologie va donc décrire les interactions entre les différents rayonnements cosmiques et telluriques. Pour localiser et quantifier ces phénomènes, nous ferons appel à la radiesthésie
(du latin radius « rayon » et du grec aisthêsis, « sensibilité »).
La radiesthésie est donc la croyance en la faculté d’exercer cette sensibilité pour découvrir, grâce au pendule ou aux baguettes, ce qui est caché aux facultés normales mais dont l’existence est réelle (telle la sourcellerie) ou imaginaire.
Après une observation comparative de l’implantation des arbres producteurs par rapport à ceux qui sont « non producteurs », il s’avère que l’on retrouve assez systématiquement les mêmes paramètres (en terme de localisation de réseaux et valeurs énergétiques).
Nous allons donc tout simplement chercher à nous rapprocher au plus près de ce que la nature nous donne à méditer.
Les écrits ci-dessous nous montrent que cette approche existe depuis bien fort longtemps.
On peut aussi « raccrocher » à cette approche le respect des cycles lunaires dans les travaux culturaux.
Le cycle de la lune Croissante / Décroissante correspond à l’augmentation ou à la diminution de la surface éclaircie de la lune alors que le cycle Montant / Descendant se dit pour situer sa trajectoire.
A noter qu’il y a souvent confusion entre ces deux cycles. En ce qui nous concerne nous retiendrons les effets de la Lune Montante et Descendante sur la taille et le travail du sol.
A ce jour, rien n’a pu être validé scientifiquement même si certains scientifiques (y compris dans le milieu trufficole) en reconnaissent les fondements.
Certaines plantations « confidentielles » tendent à me conforter dans cette approche.
A titre personnel, je mène plusieurs essais sur des truffières expérimentales d’importances afin de fonder une crédibilité.
Ces expérimentations touchent essentiellement sur l’incidence de le polarité et du lieu de plantation en fonction de 4 réseaux différenciés (et donc de leur valeur énergétique).
Notre démarche ne recherche en aucun cas à vouloir persuader qui que ce soit à adhérer à celle-ci.
Dans un premier temps, nous souhaitons fédérer les praticiens et centraliser nos résultats d’expérimentations.
Suite à quoi, nous pourrons communiquer les enseignements acquis.
De conclure, selon les propos de mon ami Jean-Pierre (ci-dessous)
« Un arbre truffier est un arbre béni des dieux et de ses auras »
François Blondel